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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/439

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Guéri de sa maladie, il assemble les chefs de la garnison, et les exhorte à la patience, et à supporter la faim à laquelle ils peuvent être réduits, 208. Convoque les plus grands de la ville, et leur fait la même exhortation, 210. Envoie avertir le seigneur de Strozzi, les ministres du Roi et le Roi lui-même, de l’extrémité où la ville se voit exposée, 213. Ses pressentimens sur le capitaine S.-Auban, 215. Détails sur l’escalade du fort de Sienne, qui est pris par les ennemis et repris sur eux ; conduite de Montluc dans cette affaire, 217. Noms des capitaines qui y prirent part, 220. Éloge de ces capitaines et des Siennois, 226. Montluc apprenant que les Siennois pensent à capituler, se décide à aller au palais de la ville, 231. Toilette qu’il fait pour s’y rendre, 232. Discours qu’il y tient, 235. Effet qu’il produit, 240. Ses dispositions pour défendre la place, 243. Détails sur l’attaque et la défense de la ville, 250. Montluc fait sortir les Allemands de Sienne ; comment cette sortie s’exécute, 260. Combat livré aux portes, 261. Montluc rassure les Siennois sur ce départ des Allemands, 263. Il est nommé dictateur pour trois mois, 265. Fait sortir les bouches inutiles, 266. Comment il empêche qu’on mette à mort de prétendus traîtres, 272 ; et découvre la ruse du marquis de Marignan, 276. Il consent à ce que les Siennois capitulent, 281. Nourriture de Montluc pendant le siége, 283. Texte de la capitulation, 285. Montluc refuse de capituler pour les Siennois, et veut au contraire que les Siennois capitulent pour lui, 288. Il fait changer un article relatif aux bannis et rebelles de l’État de l’Empereur, de l’Empire et du duc de Florence, 292. Dans quel ordre la garnison sort de Sienne, 293. Entrevue de Montluc avec le marquis de Marignan, 296. Montluc se retire à Abierroute, 297 ; puis à Montalcin, où il trouve le seigneur de Strozzi, 299. Ses réflexions sur la reddition des places, 300. Ses conseils à ceux qui sont chargés de les défendre, 303. Il se rend à Rome, où il voit le Pape mourant, et s’embarque pour la France, 311. Comment il échappe aux galères d’André Doria, et arrive à Marseille, 316. Est présenté au Roi, qui le reçoit avec grande joie, 319. Raconte à Sa Majesté tout ce qui s’est passé dans Sienne, 320. Justifie M. de Strozzi, 323. Remet au Roi, pour être déposée dans les archives, la patente que les Siennois lui ont délivrée, 325. Reçoit l’ordre de Saint-Michel, 326 ; trois mille fr. de pension et 2,000 écus comptant, etc., 327. Obtient congé du Roi pour aller voir sa famille, 328. Est envoyé à Turin, 329. Va reconnoître la place de Vulpian, 330. Assiége le château de Montcalvo, 338, qui capitule, 339. Est rappelé par le Roi, 340. Se rend à la cour, où il est justifié des accusations portées contre lui, 341. Reçoit ordre d’aller à Marseille ; est nommé lieutenant général à Montalcin, 342. S’embarque, et arrive à Rome, 343. Est bien accueilli du Pape ; est chargé de la défense d’un quartier de cette ville contre l’armée du duc d’Albe, 344. Harangue les capitaines commandans, 345. Est envoyé au secours de François Ursin à Tivoli, 349. Comment il le fait sortir de cette ville et se retire à Rome, 350. Mène deux compagnies italiennes à Velatri, au duc de Somme, 354. Il entreprend de faire prisonnier Marc-Antoine Colonne, et manque d’être fait prisonnier lui-même, 355. Revient heureusement à Rome, où l’on rit de son entreprise, 362. Obtient un congé du Pape pour aller à Montalcin, 368. Se rend maître de quelques petites places, 371. Comment il est trompé par un Siennois nommé Febo Turchi, 373. Il se jette dans la roque de Baldoc pour la défendre, 380. Fait ses dispositions pour attaquer la place de Piance, où les gens de Florence veulent entrer, 383.