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des plus urgentes réparations à faire, XIX, 176. Vient en rendre compte au Roi, 177. Est envoyé en Piémont pour connoître et apaiser les différends élevés entre Guy de Rangon, César Frégose son beau-frère, et Gaguin de Gonzague, 248. Vient rendre compte au Roi de la situation de ses affaires, 254. Porte de l’argent à la garnison de Turin, 259. Répare le pont de Moncalier, et est reçu dans cette ville, 284. Est nommé gouverneur du Piémont, 302. Comment il ramène l’abondance dans ce pays, et le fournit de blé à ses frais, 303. Essaie inutilement de dissuader César Frégose, envoyé à Venise, de s’y rendre par eau, offrant de le faire conduire par terre, 310. Envoie au marquis Du Guast le seigneur de Termes, pour se plaindre de l’assassinat des ambassadeurs Frégose et Rincon, 312. Dépêche qu’il reçoit de lui sur ce sujet, 313. Sa réponse au marquis, 314. Comment il parvient à découvrir la vérité sur cet assassinat, 317. Envoie à la diète de l’Empire une lettre en réponse à celle du marquis Du Guast, adressée à cette même diète sur l’assassinat des ambassadeurs ; texte de cette lettre, 327. Son projet et ses préparatifs pour se rendre maître du Milanais, 369. Forme une triple entreprise sur Coni, Quéras et Albe ; quelle en est l’issue, 382. Vient camper à Carignan, y élève un fort, 384. Détache de l’armée impériale 5 à 6,000 hommes dont il se renforce, 385. Enlève quelques places du Montferrat, 389. Se décide à revenir en France pour instruire le Roi de ce qui se passe ; meurt au Mont-Tarare, 392.

Bellay (René Du), baron de La Lande, gendre de Guillaume Du Bellay, seigneur de Langey, dédie à Charles IX les Mémoires de son beau-père, XVII, 189.

Bellay (Jean Du), évêque de Paris, harangue le Pape à son entrée à Marseille, XVIII, 207. Est envoyé auprès du roi d’Angleterre ; obtient de ce prince qu’il ne se séparera point de l’Église romaine, si le Pape veut surseoir à l’exécution de sa sentence ; va lui-même à Rome solliciter du Pape cette suspension, 266. Quelle est l’issue de cette ambassade, 268. Est envoyé à Paris pour rassurer cette ville, et en qualité de lieutenant général, 497. Lève 10,000 hommes de troupes pour aller au secours de Peronne, et approvisionne la capitale pour un an, XIX, 161.

Bellay (Martin Du) fait précéder les Mémoires de son frère d’une préface, XVII, 193. Y ajoute sept livres composés par lui-même, 195. Est envoyé par le duc de Vendôme auprès du Roi pour l’avertir que le roi d’Angleterre prépare une descente à Calais, 365. Secourt le jeune François de Lorraine combattant seul à pied 7 ou 8 ennemis, 395. Est envoyé au Roi pour lui rendre compte de la manière dont la garnison de Fossano s’est retirée à Fenestrelles, 495. Est envoyé dans la ville de Térouenne pour la défendre de surprise, XIX, 204. Est chargé de la défense de Lilliers, 214. Empêche les ennemis de réparer et fortifier S.-Venant, 217. Reprend un convoi enlevé par les Bourguignons, 219. Recouvre le butin et les prisonniers que l’ennemi a faits, 225. Est fait prisonnier au siège de S.-Paul, 235. Est renvoyé sur sa foi, 236. Vient au devant du Roi, qui passe en Italie, 285. Met en fuite les Impériaux et sauve l’argent du Roi, 286. Est nommé gouverneur de Turin, 294. S’empare de plusieurs petites places du Montferrat, 393. À la nouvelle de la mort de son frère, le seigneur de Langey demande congé au Roi pour revenir en France ; avant de partir découvre deux projets de l’ennemi de surprendre la ville de Turin, 404. Fait couper la tête au juge de cette ville, 407, et à deux soldats espagnols. 410. Bloque un moment la place d’Avesnes ; défait un parti ennemi en se retirant, 423. Se porte sur Landrecies, 424. Veut empêcher que cette ville ne