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tourné par Montluc ; détails à ce sujet, 93. Entreprend l’attaque, 96. Détails ; se rend maître du château, 101. Prend plusieurs places aux environs d’Yvrée, 102. Marche contre don Alvar de Sande, 103. Le poursuit, 104. Se rend maître d’Albe, 115. Propose à Montluc d’aller défendre la ville de Bène, 138. Assiége le château de Courtemille, 147. En devient maître par capitulation, 154. Va assiéger Ceva ou Sève, 158, qui se rend par composition, 162. Écrit au Roi pour le détourner de donner le gouvernement de Sienne à Montluc, 171. Envoie un courrier à Montluc pour le prier de ne pas l’abandonner, et de revenir en Piémont, 172. (Comment. de Montluc.) — Prend Vallenières par traité ; emporte Quiers ; est repoussé devant Calvi ; est forcé à la retraite, XXIV, 199. (Mém. de Tavannes.) — Fait sortir M. de Villebon et toute sa famille du château de Rouen, XXVIII, 129. Se rend à Orléans après l’assassinat du duc de Guise, 130. (Mém. de Vieilleville.) — Dès sa jeunesse est attaché au Dauphin ; déploie de grands talens militaires ; est fait colonel de la cavalerie légère, 311. Ses qualités extérieures ; il est décoré du grand collier de l’ordre, fait grand-maître de l’artillerie, envoyé en ambassade à Charles-Quint, 312. Nommé gouverneur de Piémont et créé maréchal de France, il prend Quiers et Saint-Damian, 313. Est presque abandonné à ses propres forces ; éprouve les injustices de la cour, 314. Conserve tout le pays qui lui est confié, en recule même les limites ; sagesse de son administration ; il favorise le commerce et l’agriculture, maintient une discipline sévère, donne des bals et des fêtes où les Français et les Piémontais sont confondus, 315. Son talent pour manier l’esprit des soldats, et s’en faire aimer et obéir, 316. Il est forcé d’abandonner le théâtre de ses victoires, 317. Emprunte 100,000 livres pour acquitter la solde de ses troupes ; paroît à la cour avec les compagnons de sa gloire, 318. Emploie la dot d’une de ses filles pour rembourser les marchands piémontais ; combat avec les Guise le parti des protestans ; se range du côté des politiques, 319. Est nommé gouverneur de Picardie ; contribue à la prise du Havre, 320. (Avertiss.)

Origine de la race des Cossé-Brissac, 355. Portrait physique et moral du maréchal, 356. Il est quelque temps enfant d’honneur du Dauphin ; fait sa première campagne en Italie, 357. Commande 200 chevau-légers en Piémont ; est blessé au siége de Perpignan en sauvant l’artillerie française ; est nommé capitaine d’une compagnie de gendarmerie, 358. Est fait colonel général de la cavalerie légère, 359. Danger qu’il court au siége de Landrecies, 360. Henri II l’honore de son ordre, et le fait grand-maître de l’artillerie, 361. Est nommé gouverneur du Piémont ; se rend à Suze, où il reçoit les derniers soupirs du prince de Melphe, 386. Arrive à Turin ; y est harangué par le président de Birague, 388. Confirme et approuve les réglemens et ordonnances de son prédécesseur, 390. Ne pouvant, selon l’ordre exprès qu’il en a reçu de la cour, faire passer sans danger les bandes italiennes commandées par M. de Strozzi dans le Parmesan, il les licencie en apparence, afin qu’elles se rendent séparément dans ce pays pour s’y reformer sous leurs capitaines, 396. Retient prisonnier l’évêque d’Astorgue, et demande à Fernand de Gonzague réparation du massacre exécuté sur les soldats des bandes italiennes, 399. Comment il remet en haleine les troupes sous ses ordres, 407. Il envoie le colonel Bonnivet former un camp à Poyrin, à 4 milles de Quiers, avec ordre de tomber sur partie de la garnison de cette ville, dans le cas où elle voudroit aller à Ast, 408. Envoie le capitaine Terrides fortifier l’église de S.-François de Barges, 409. Se plaint à don Francisque d’Est, commandant à Milan,