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paiement des troupes, et sur les projets des Milanais contre Valence, 95. Suite de la correspondance du maréchal avec le Roi, dans laquelle il se justifie à l’égard des faux rapports qu’on fait à S. M. sur l’état des choses en Piémont, 98. Fait le siége de Valfrénières, dont il se rend maître, 114. Envoie Du Villars en porter la nouvelle au Roi, 115. Attaque Cairas, 120. La saccage de fond en comble, 121. Fait le siége de Coni, 124. Sa colère contre le vidame de Chartres qui fait manquer un assaut, 127. Il s’éloigne de Coni, 131. Tient l’armée ennemie engagée dans Foussan ; envoie demander au Roi de prompts secours d’hommes et d’argent, 132. Reçoit la nouvelle de la perte de la bataille de S.-Quentin, 138, et des ordres pour faire venir en France les 4,000 Suisses qui sont en Piémont, et MM. de Termes et d’Amville, 142. Il envoie au Roi le sieur Du Villars, chargé de remettre un mémoire sur ce qu’il convient de faire dans les circonstances critiques où se trouve S. M., 143. Fait démolir les places de Galliani et de Gatinare, 156. Envoie au Roi son frère Gonnor pour obtenir une augmentation d’hommes et d’argent, 161 ; et le sieur Du Villars auprès de M. de Guise retournant en France, pour lui remontrer les misères et les afflictions du Piémont, 164. Implore les secours du Roi pour le duc de Ferrare, menacé par les Impériaux et abandonné par le Pape, 166. Répond aux ordres contradictoires qu’il a reçus du Roi sur l’emploi de 440,000 livres, 168. Autres dépêches sur les opérations des ennemis en Piémont, et sur l’état des affaires en ce pays, 172. Demande et obtient un congé pour se rendre auprès du Roi, 185. Est froidement reçu par les Guise ; défie ses accusateurs devant le Roi, qui prend hautement sa défense, et lui donne des marques publiques d’estime et d’affection, 186. Propose au Roi de faire marcher l’armée du Piémont sur Gênes, Savone et Milan, 188. Reçoit à Lyon des dépêches de son frère Gonnor sur les mouvemens des ennemis en Piémont, 191. Supplie le Roi de faire hâter les levées de Languedoc, Provence et Dauphiné, 195. Arrive en Piémont, d’où il fait part au Roi qu’une armée de 20,000 ennemis bien payés se met en mouvement contre des troupes mal payées, à demi défaites et mécontentes, 197. Envoie l’ordre à son frère Gonnor de se jeter dans Verrue, et lui fait part de la marche des ennemis, 198. Donne pareil avis au Roi, 200. Sur les demandes du duc de Somme, gouverneur de Carmagnole, il envoie des provisions dans cette place, 203. Reçoit avis du sieur de Grignan, commandant à Lyon, que la flotte d’Angleterre a été battue et s’est éloignée de Brest, 204. Envoie au Roi le sieur de Vimercat pour informer S. M. de la marche et des forces des ennemis, 205. Comment et par qui le maréchal pourvoit à la défense des places, 209. Renvoie au duc de Sesse les provisions qui lui ont été enlevées dans un combat livré dans la plaine de Cerisolles, 213. Annonce au Roi la reddition de Cental aux Impériaux, 214. Renouvelle ses demandes d’argent, 215. Reçoit avis de la position et de la force des armées ennemies dans la Picardie, et des espérances de paix, 216. Demande au Roi qu’il envoie en Piémont le prince de Condé, M. d’Amville et autres seigneurs, 218. Écrit à MM. de Guise pour les prier de prendre connaissance du mémoire qu’il a adressé au commissaire Plancy sur le danger éminent où sont les affaires en Piémont, 221. Précis de ce mémoire, 222. Répond au Roi, qui l’a engagé à tenir ferme sans lui envoyer des secours d’argent, 224 ; et lui adresse un état des hommes qui sont chargés de défendre Montcalve, 229. Le maréchal apprend la reddition de cette place, 238. Envoie au Roi le sieur de Cros avec de nouvelles remontrances, 244 ; puis le sieur de Villars, avec un état de recette et