Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/94

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

a son cheval tué sous lui au siége de Padoue, XV, 285.

Budée (Guill.), un des plus savans de son siècle, est envové auprès du pape Léon X ; honneurs qu’il en reçoit, XVII, 16. Est dupe de la politique italienne, 17.

Buffez (le capit.) est blessé au combat livré par le gouverneur de Tarente à la flotte vénitienne ; malgré sa blessure, se rend pendant la nuit à la ville de Mesagne pour y chercher du secours, qu’il amène à Tarente, XIV, 283.

Bugnet, jeune cordelier, quitte le froc et l’habit en trompant ses supérieurs ; son livre intitulé Antipéristase, XLVII, 427.

Buguenon (le seign. de) est blessé à la tête au siége de Metz, et trépané, XXXII, 341.

Bubi (de), gouverneur pour le Roi de la ville de Pontoise, est contraint de rendre cette place au duc de Mayenne, XL, 1.

Buisson (de), dit Sarras, nouveau protestant, est appelé à Annonay pour y commander ; il maltraite les gentilshommes et vexe les catholiques, XXXIV, 306.

Bulau et Dubois (les capitaines), insignes voleurs, sont roués à Tours XLVIII, 40.

Bullion (Claude de), marquis de Gallardon, vient annoncer au parlement de la part de la Reine qu’elle se rendra le lendemain au Palais avec le Roi son fils pour tenir son lit de justice, XLIX, 254. (Relat. de Gillot.) — Est nommé commissaire du Roi à l’assemblée des protestans de Saumur, L, 149. Sa conduite conciliante et ferme y calme les esprits, 153. (Font.-Mareuil.)

Buous (Du), commandant l’arrière-garde de l’armée royale, est tué au combat d’Esparon de Pallières, XL, 203.

Burel de La Rivière, officier de Charles V, chargé de faire les honneurs aux étrangers qui venoient voir le Roi, VI, 63. (Christ. de Pisan.) — Est nommé du conseil du Roi, 216. Est arrêté, accusé ; obtient sa grâce, 231. (Tabl. du règn. de Charles VI.)

Bures (le seign. de), lieutenant de l’Empereur, vient assiéger la place de S.-Paul, XIX, 227. Fait sommer le seigneur de Villebon de la rendre, 231. Réponse qu’il en reçoit ; fait battre la place, 232. Détails militaires sur les opérations de ce siége, 233. Se rend maître de S.-Paul, 236. Fait brûler la ville et raser le château, 237. Se porte sur Montreuil, qu’il se dispose à assiéger, 239. Reçoit la place par capitulation, 240. Se porte sur Hesdin pour en faire le siége, 242.

Burgau (le marq. de), devenu général de l’année impériale en Hongrie par la mort du comte de Mansfeld, de concert avec J. de Médicis, livre un assaut à la ville de Gran, et s’en rend maître, XLIII, 166.

Burgos. Comment les habitans de cette ville délibèrent entre eux pour savoir ce qu’ils doivent faire à l’approche de Henri de Transtamare, IV, 351. Résolution qu’ils prennent de se soumettre à ce prince, 354.

Burgos (l’archev. de) conseille aux habitans de cette ville de reconnoître Henri de Transtamare pour roi, et de renoncer à Pierre-le-Cruel ; motifs qu’il fait valoir, IV, 352. Présente à Henri les hommages et la soumission de cette ville, 355.

Burie (le seign. de) remplace le seign. d’Annebaut dans le commandement de la ville de Turin, XIX, 192. Forme une entreprise sur la ville de Casal, 199. Est fait prisonnier dans cette ville, 200. Force le château de Suze à se rendre à discrétion, 279. (Mém. de Du Bellay.) — Est adjoint à Montluc pour empêcher les troubles dans cette province, XXII, 10. Sa conduite incertaine, 24. Il empêche Montluc de tuer les commissaires Compain et Girard, 35. Fait venir de Bordeaux deux conseillers du parlement, pour les opposer à ces commissaires, 37. Se rend à Bordeaux avec quatre compagnies de gendar-