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Page:Peyrebrune - Gatienne.djvu/342

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Puis il l’étreignit, toute molle et fléchissante, se pencha sur son visage blanc, dont les yeux regardaient le ciel, et colla sa bouche sur ses lèvres, qui s’écartaient comme exhalant encore leur prière d’amour.

Et, dans ce terrible et dernier baiser, Fabrice disait à Gatienne qu’elle emportait l’absolution complète de sa conscience et de son cœur.


FIN

Coulommiers. — Imp. Paul BRODARD.