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Page:Peyrebrune - Les femmes qui tombent, 1882.djvu/41

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iv

C’est place de la Bourse, au fond de la cour d’une vieille maison à compartiments, laide et d’aspect louche. Il y a les escaliers A, B, C, D, E, avec des corridors qui s’enchevêtrent, des demi-étages, des obscurités, des détours de labyrinthe, et, pour fil conducteur, des rampes poisseuses que n’éclaire pas le plus étroit carreau.

Les gens de la maison circulent là dedans comme des taupes. Ceux du dehors se hissent en tâtonnant, se cognant au mur, les yeux écarquillés.

Au bas de l’escalier B, à droite en entrant, une plaque noire avec lettres dédorées :

agence abel henriet

À mi-chemin de l’entresol, une autre plaque :

entrée de l’agence
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