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vous souhaite une aussi longue pratique de bonnes œuvres ; & persuadé qu’il ne manque à la perfection de votre mérite que ce qu’un âge comme le sien y peut ajouter, je félicite Mrs. vos enfants de retrouver en vous ce que vous perdez en M. votre pere. Je suis, &c.
LETTRE du même à M. le Pelletier
sur la mort de sa Fille.
sur la mort de sa Fille.
A Nîmes, ce 10 Octobre 1702.
Vous avez, Monsieur, dans la mort de Mme. votre fille, tout ce qui peut adoucir votre douleur ; sa vie toujours chrétienne, & conforme à l’éducation qu’elle avoit reçue de vous ; sa maladie, où elle a possédé son ame dans la résignation & la patience, & toutes les apparences de son salut & de son repos éternel. Ces