Page:Philostrate - Apollonius de Tyane, sa vie, ses voyages, ses prodiges, 1862.djvu/516

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Il blâme les représentations, même symboliques, des dieux sous forme d’animaux, 260.

Grande place donnée aux questions de culte et de rites, 130, 157, 237.

Il définit sa philosophie une inspiration d’en haut, la science des prières et des sacrifices, 52, 179.

Il blâme les sacrifices sanglants, comme outrageux pour les dieux, 206, 361.

2. Psychologie et morale. (V. l’art. Métempsycose.) Apollonius semble désapprouver la curiosité sur ces questions, 394. — Immortalité seulement pour le sage, 413.

Idées sur la justice, 265.

Obligation de s’entr’aider les uns les autres, 142.

Règle sévère de mœurs (abstinence de viande et de vin, chasteté, etc.), 9, 15, 246 et passim.

Phraote, roi de l’Inde, roi philosophe, 76.

— Ses entretiens avec Apollonius, 76 et suiv.

— Il parle grec et s’accuse de n’être qu’un barbare, 78, 8 3.

— Il cite Homère et Euripide, 79,82.

— Un dîner chez le roi Phraote, 78.

— Histoire de son père, détrôné pendant sa minorité, et qui vécut dans l’exil en simple particulier et en sage, 82.

— Phraote est envoyé à douze ans chez les Brachmanes, 83.

— Il est rétabli sur le trône de ses pères, 84.

— Son respect pour la coutume, 85.

— Quand Apollonius prend congé de lui, il lui offre des présents et lui donne une lettre pour Iarchas, 93.

Platon. Son voyage en Égypte, 3.

Porus. Tradition sur Porus, sa résistance à Alexandre, son attachement pour son vainqueur, 71 et 72.

Protée, dieu égyptien, incarné en Apollonius de Tyane. Comment il visita sa mère, 5 et suiv.

Pythagore. Avait été Euphorbe dans une première existence, 1, 111, 351.

— Avait le don d’ubiquité. Se trouva au même instant à Thurium et à Métaponte, 147.

Pythagore. Était visité par les dieux, entendait des voix divines, 2.

— Donne des détails sur l’Inde, 68.

— Il parlait par énigmes, 249.

La philosophie de Pythagore lui est venue de l’Inde, 248.

Satyre. Les Satyres sont une espèce particulière de démons, 274.

— Histoire d’un Satyre qui poursuivait les femmes en Ethiopie, et en avait tué deux qu’il aimait, 272. — Apollonius le dompte en l’enivrant, et fait la paix avec lui, 273.

— Midas était de la famille des Satyres. Un Satyre le plaisantant sur ses oreilles, il l’enivre pour le dompter, 273.

— Philostrate déclare avoir connu à Lemnos un enfant dont la mère était fréquentée par un Satyre, 274.

Socrate. Son démon, 3.

— Pourquoi il jurait par des animaux, 262.

— Condamné à mort, quoiqu’il fût le plus juste des hommes, 267.

— Apollonius opposé à Socrate, 141.

Soleil. Dieu qui est le principal objet de l’adoration d’Apollonius, 90.

— Adoré par les Brachmanes, qui célèbrent son culte tous les jours à midi, 105, et à minuit, 124.

— Raison de la manière dont ils l’adorent, 252.

— Les Indiens le représentent sur un char attelé de quatre griffons, 134.

Tantale, personnage calomnié par les poètes grecs, suivant Iarchas. — Les Brachmanes ont chez eux une statue de Tantale, tenant une coupe pleine jusqu’au bord, 116.

Cette coupe ne se vide jamais, quel que soit le nombre de ceux qui y portent les lèvres : le breuvage qu’on y boit est destiné à affermir l’amitié, 124.

Télésinus. Personnage consulaire, favorable aux philosophes et à Apollonius sous Néron et sous Domitien, 179, 296.

Télèphe (le Mysien), héros de la guerre de Troie. Son âme passée dans le corps d’un enfant que rencontre Apollonius, 286.

Thespésion, chef des Gymnosophistes , s’entretient avec Apollonius, 241 et suiv.