Page:Picabia - L’Athlète des pompes funèbres.djvu/11

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parfumé par la datte
de la montagne neigeuse
palpitante le soir
au corps gonflé d’oiseau.
Beaux jusqu’à mes poignets,
des oasis femelles
sur mon dos représentent
une petite sole cause naturelle
de voir le timbre de précaution
taillé en soubrette.
J’ai eu le temps d’épouser le mur de l’odeur
à courte distance du moineau
vêtu en vantardise.
Ses feuilles anormales, parasites étranges,
contiennent les faits divers
dans une campagne lourde de nerfs.