Page:Picabia - L’Athlète des pompes funèbres.djvu/13

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

distendues
dans la cour embarrassante
du revolver modeste
sur l’autre face,
les amoureux des doléances
du verre de porto
passent le quart d’heure
illustre d’une lame désintéressée
à cinq pages,
triomphant dans le vide
des poignées de main
de l’envie boutonnée de la police,
avec une cigarette de facteur !  !  !
Morceau gâteau sur dix minutes
en haut, glacé de peur
dans un coin d’alphabet