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Page:Pichot - Le Dernier roi d'Arles, d'Amyot, 1848.djvu/101

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90 NOTE HISTORIQUE.

de toute la cour, et fit même le voyage de Madrid en 1710 et }718, pour délivrer la reine d’Espagne. Louis XIY l’aiioblit, avec cette clause expresse qu’U ne pourrait abandonner la pratiqy£ de son art : cet anoblissement honore le roi et Faceoucheur. Élève de Lefèvre, Clément eut Thonneur d’être le maître de Puzos.

Il me reste à m*excuser auprès des vivants dont j’ai omis les noms y parce que les transitions ont manqué à ma mémoire, ^i M. Sci{Mon du Roure, ni M. Honoré Déo, ne m’accuseront de les ignorer. Enfin, quelque riche que soit Arles en illustrations médicales et poétiques, il lui est impossible de ne pas réclamer le docteur Prosper Yvaren d’Avignon , qui entre autres ouvrages a publié récemment une traduction du fameux poëme de Fracastor, dans laquelle il s’est placé au premier rang des poètes par ses vers , au premier rang des médecins par ses notes. y