Page:Pichot - Monsieur de l'Etincelle, ou Arles et Paris, t. I, Gosselin, 1837.djvu/263

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moins que, fatiguées toutes les deux, elles se soient endormies ensemble, ce qui forme un groupe ravissant pour Maurice et pour moi.

» Odille.


» P. S. Nous avons vu cette semaine M. Mazade, qui, de son côté, a fait un mois de Villegiatura, comme disent les Italiens, dans un château de Normandie ; quant à M. d’Armentières, qui n’a guère été moins rare dans ses visites, il m’a laissé deviner qu’il obéissait à un sentiment de discrétion et faisait violence à son amitié, pour nous prouver, quand il en serait temps, que cette amitié est toujours la même. »