Page:Pichot - Monsieur de l'Etincelle, ou Arles et Paris, t. II, Gosselin, 1837.djvu/257

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d’un rossignol qui avait manqué à sa première entrevue, achevèrent pour lui ce qu’avait commencé l’amitié de don Antonio, et la sage Isabelle avoua à son cousin que, quelle que fût son affection pour madame Duravel, elle ne songeait nullement à passer toute sa vie avec elle. En un mot, Paul était dans une sécurité complète quant à ce qui le concernait ; mais il prévoyait que lorsque les papiers attendus par sa tante arriveraient, ils ne suffiraient peut-être plus pour décider de sa destinée.