Page:Picot - Nyrop - Nouveau recueil de farces françaises des XVe et XVIe siècles, 1880.djvu/122

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36 1. — FARCE NOUVRLLE DU CUVIER. La Mère Ce sont VOS amys, de par Dieu. Je suis arrivée en ce lieu Pour sçavoir comme tout se pointe. 275 JAaUINOT Tresbien, puisque ma femme est morte. Tout mon souhait est advenu ; J’en suis plus riche devenu. La Mère Et ma fille, est elle tuée ?

vos grans amys. — 279 Et est ma fille tuée. 

La Mère Ce sont vos amis , de par Dieu. B./). 20 Je suis arrivée en ce lieu Pour sçavoir comme tout se porte. jACaUINOT Tresbien, puis que ma femme est morte. Tout mon souhait est advenu ; 260 J’en suis plus riche devenu. La Mère Et ma fille, est elfe tuée ? •

elle m.