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compte, & que d'un inRant à l'aucrc il pouvoit !cs <;crn)er. Les premiers donc, outre ]cs convcrfaiions ~nerale'i, prontoicnc des moyens particuliers qu'ils avoienc d'animer.leurs ouailles par la confefnon, par les confointions fpirituellcs qu'ils leur donnoienc.' les feconds appuyoient afficacement par les confolations temporelles, ils femoient l'argent, qu'ils tavoienc bientôt retrouver s'ils reftoient en ptacc. Du reftc ils annoncbienc ne pouvoir pas toujours faire de tels ettorcs;
C'eA ainfi que fe font infenfiblement amenées les infurrcftions dont j'ai été témoin en partie mais donc je ne vous raconterai point les détails que vous avez lus dans !e< papiers publics (*). Je vous ferai part feulement de deux Lettres du Roi à M. T'~r- ~of,- écrites à l'occation de l'émeute de Verfailles (~): outre qu'elles font tares, c'eft qu'elles con
On peut lire à ce fujet Relation /or~u< de ~<fc ~rriMe à Paris. le 3 Mai !T!5 de ce qui l'a preccae fui- ~t, imprimée à la fuite des Mémoires conKr/MHt /'aJ/n/f;~?M- ~o/? des ~MHft! fous M. /M Terra! ,C')ntr<}/~r-gc/~M/ Noce de l'Edueur.
d Voici ces Lettres, que je tiens de l'Intendance de Pa- yis où on les regarde comme authentiques.
Premiere Lettre du Roi à AI. Turgot.
Mardi 2 Mai ,à n heures du matin'
Je vien~derecevoir votrelettre Monncur, par M. de B~u~eau. Verfailleseft attaque, & ce font les mêmes geM 'u'a Saint Gcrmzir.je vais me concerter avec M. te Ma-
