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Page:Piedagnel - Jules Janin, 1877.djvu/101

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C ombien l’éminent lettré se plaisait dans son merveilleux cabinet de travail, au milieu de ses chers livres, si savamment, si royalement habillés par des artistes tels que Capé, Niédrée, Duru et Trautz-Bauzonnet ! D’un regard amoureux, attendri parfois, il contemplait, sans se lasser, cette nombreuse et brillante réunion d’amis : de poëtes, d’historiens, de philosophes, d’orateurs, de romanciers, de critiques… Les volumes multicolores, bien alignés dans quatre vastes bibliothèques en chêne sculpté, semblaient