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Page:Pierre Corrard - Les Opalines, 1908.pdf/77

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LES OPALINES


Il est une vallée étrange, étroite et brève,
Où je m’en vais parfois. L’air est flottant, léger :
J’y marche d’un pas droit, qui m’est comme étranger,
D’un pas muet d’extase ainsi que dans les rêves.