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Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1901.djvu/239

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viii

QUELQUES LIVRES
ET QUELQUES AUTEURS

On ne trouvera pas ici — cette fois du moins — une revue littéraire de l’année, pas même une chronique : simplement une causerie consacrée à celle des œuvres récentes qui ont le plus justement fixé l’attention. Nous avons l’an passé, indiqué les traits principaux de la pensée Française[1] sous ses formes actuelles ; d’aucuns nous ont trouvés sévères. Nous n’avons pas conscience d’avoir été injustes. En tous les cas nul

  1. Voir la Chronique de 1900, chapitre vii.