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Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1905.djvu/78

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la chronique

ne point en exagérer les résultats au-delà de toute vérité. La méfiance des Français pour eux-mêmes et la confiance de l’Allemagne en leur faiblesse, toutes deux parfaitement outrées, provinrent de là et c’est de ce double élément qu’était faite la crise dans la période aiguë de laquelle on allait entrer.