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conclusions.

de confiance dont vous m’avez honoré. J’ai fait de mon mieux pour y répondre d’une manière digne de la France et du Gouvernement de la République, et j’ai l’espoir que mon voyage n’aura pas été inutile, puisque j’en rapporte l’impression que nous ne faisons pas fausse route en nous engageant dans la voie que l’étude des institutions scolaires anglaises avait ouverte devant nous. Poursuivons donc nos réformes, soutenus par l’exemple de l’Angleterre et de l’Amérique, et cherchons à réaliser le programme qui tient dans ces deux mots : sport et liberté.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’hommage de mon profond respect.

Pierre de Coubertin.


fin