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Et, dans ce lupanar, si toutes les putains
Ont, à l’heure qu’il est, soit chancres, soit poulains,
C’est à lui qu’on le doit, car sa pine engorgée
De mille maux affreux est constamment rongée.
Sans tarder davantage, il serait bon d’abord
Qu’on les fît visiter et soigner par Ricord ;
Mais quand on aura mis dehors les plus pourries,
Quand les autres seront totalement guéries,
Pour empêcher le mal d’y revenir loger,
Pour mettre les putains à l’abri du danger
Et pouvoir sans péril accepter toute pine,
Il n’est qu’un seul moyen…

VAFAIRE.

Lequel ?…

CRUCHE.

Le pare-à-pine.