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Scène troisième.
SERREFESSE, PINCECUL.
PINCECUL.
(Avec une passion qui va croissante, et que trahissent éloquemment ses regards libertins et ses gestes polissons.)
Heureux est Couillardin !
Que de grâces au ciel doit rendre son engin !…
Le matin, quand il rentre après une vidange,
Il vous trouve au logis, ainsi que son bon ange ;
Votre main doucement chatouille ses roustons,
Tandis qu’il vous pelote et vous prend les tétons ;
Il baise, ou votre bouche attisant son prépuce,
Boit le foutre qui sort du chibre qu’elle suce !…
Oh ! si ce bonheur-là m’avait été donné,
Si mon nœud eût été le membre fortuné