doute, freilich, recule, je ne sais pourquoi, devant le premier γὰρ, qu’il aurait bien pu traduire comme le second : il ne l’ose et le change en γ’ οὖν, soupçonnant au reste que ce premier εἴρηται γὰρ est une glose tirée du second. Tout est nécessaire et parfaitement à sa place.
Il y a dans le second Alcibiade plusieurs passages semblables à celui-ci. — Bekker, Ire partie, IIe vol.
Ὡμολόγηται γὰρ. — Ὡμολόγησα γὰρ. — Οὐ γάρ, p. 272-273. — Φαμὲν γάρ. p. 289.
Et dans l’Hipparque. — Bekker, Ire partie, IIe vol.
Σωϰρ. Οὐϰ ἄρα οἴεταί γε ϰερδαίνειν ἀπὸ τῶν σϰευῶν τῶν μηδενὸς ἀξίων. — Ἑταιρ. Οὐ γάρ. p. 233. Il ne le pense pas ; car il ne doit pas le penser.
Ibid. Σωϰρ. Ἐναντίον δὲ ὂν ϰαϰῶ, ἀγαθὸν εἶναι. — Ὡμολογήσαμεν γάρ. Oui, car nous en sommes convenus.
Et dans le Ier Alcibiade. Bekker, IIe part., IIIe vol., 304 : Ἆρ´ ἐρωτᾷς εἴ τιν´ ἔχω εἰπεῖν λόγον μαϰρόν, οἵους δὴ ἀϰούειν εἴθισαι; οὐ γάρ ἐστι τοιοῦτον τὸ ἐμόν. — Non, car ce n’est pas là ma manière.