παρ… ἐπιστῆσαι… Suit la conclusion : Non seulement on ne gagne rien à avoir de bonnes lois, οὐ μόνον οὐδὲν πλέον εὖ τεθέντων, suppléez νόμων. Il n’y a donc aucun besoin de rien changer au texte, et cependant nul critique n’a osé le maintenir dans son intégrité. Henri Etienne, celui qui y change le moins, lit ἐκ τοῦ πόλιν... Heindorf propose τοῦ πόλιν εὖ παρεσκευασμένην ἄρχος ἐπιτηδείους ἔχειν, ἐκ τοῦ ἄρχος ἀνεπ. ἐπιστῆσαι, en rapportant τοῦ πόλιν jusqu’à ἐκ τοῦ ἀρχ. à μεγάλου ὄντος ἔργου. Ast adopte la correction d’Heindorf en changeant seulement ἐκ τοῦ ἄρχος ἀνεπ. ἐπιστῆσαι en εἰ ἀρχ. ἀνεπιτηδείους ἐπιστησεῖε.
PAGE 307 — Athènes et Sparte ont trop de fierté pour cela : d’ailleurs elles sont éloignées l’une de l’autre, au lieu que tu as toutes les facilités possibles, toi, et les autres fondateurs de la colonie aussi bien que toi.
Bekker, page 416. Μέγα μέν, ὦ Κλεινία, φρονοῦσιν αἱ Ἀθῆναι, μέγα δὲ καὶ ἡ Σπάρτη, καὶ μακρὰν ἀποικοῦσιν ἑκάτεραι· σοὶ δὲ κατὰ πάντα ἐμμελῶς ἔχει καὶ τοῖς ἄλλοις οἰκισταῖς κατὰ ταυτά, ὥσπερ τὰ περὶ σοῦ νῦν λεγόμενα
Ast a très-bien vu que κατὰ ταυτά, ὥσπερ τὰ περὶ σοῦ νῦν λεγόμενα est pour κατὰ ταυτὰ, ὥσπερ σοί, comme il y a déjà dans le troisième livre τὰ παρ’ ἐμοῦ pour ἔγω ;