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SIGLES


A = 
cod. Parisinus 1807.
F = 
cod. Vindobonensis 55.
T = 
cod. Marcianus 4. 1, jusqu’à 389 d.
Pap. 1, 2, 3, 4 = 
Papyrus Oxyrhynchus 1, 2, 3, 4.
Manuscrits cités.
W = 
Vindobonensis 54.
D = 
cod. Vendus 185.
M = 
cod. Malatestianus ou Caesenas XXVIII, 4.
Mon. = 
cod. Monacensis 237[1].

En général, on n’a marqué les sigles que pour les leçons écartées. Comme il n’y a que trois, puis deux manuscrits considérés, il est facile, par élimination, de connaître d’où vient la leçon suivie. Si l’on voit par exemple ἀρκέσει, ἀρκεί ; F, on en conclut que ἀρκέσει est la leçon de A et de T. Néanmoins, toutes les fois que la leçon de A a été rejetée, la leçon adoptée porte le sigle du manuscrit d’où on l’a tirée.

Les sigles A2 F2 T2, attachés à une leçon, indiquent que la première main de ces manuscrits porte une leçon différente. Ex : σίτου : σιτίου. Concluez que σίτου est la leçon des manuscrits, mais que A porte la correction σιτίου.

Quand l’exposant n est accolé au nom d’un citateur, cela

  1. J’ai collationné moi-même 7 manuscrits de la République : A, F, T, W, D, et les deux Parisini 1810 et 1642. Bien que A ait été mainte fois collationné, j’ai trouvé encore quelques erreurs à corriger, qui ont échappé à Burnet. Quant à F, j’en donne pour la première fois, je crois, la collation complète dans mon apparat.