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Page:Plessys - Le Premier Livre pastoral, 1892.djvu/113

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À CRITIAS, PÊCHEUR DE BALEINES

Bon Critias, ta barque assidue aux Pléiades
Se jou’ de Neptune inégal.
Transfuge impatiente des rades
Oisives, ell’ cingle au Nord poissonneux : la Fortune
Souffle à ta poupe chasseresse et ores
Que t’envient, forçant la barrière du large.