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écrit sur la toreutique, de cetui qui avait écrit sur la peiuture et tes tabteaux. (XXXtV, 19, u° 34 ; XXXV, 36, u° 8.) Autincllus Manilins, te premier écrivaiu tatiu sur t’astrouomtc. Brotier dil qu’it fut te père de ttt. Manitius, dont uous avous un poëme sur cette scieuce, dédié ù Auguste. (XXXV, 58.)

Autipater (Lucius Cœtius), maître de d’orateur Lncius Crassns, dit Cicérou dans son Brutus, p. 545. tt florissait vers l’au de Rome 624, avaut Jésus-Christ 128. lt avait composé une Histohe de la guerre puuique, adressée ll L../Elius Stilou, maître de Varrou. M. Brntus faisait un tel cas de cette histoire, qu’it eu avait rédigé un abrégé, il ce queditCicérou, Xllt, Epist. 8ad Attic. (tlt, 23 ; XXXI, 18.)

Autipater, auteur d’un livre Sur tes animaux, cité par le Scholiasle d’Apoltouius, tt, v. 89 ; ué la Rhodes, maître de Pauœtius, dout Cicérou parle si souvent ; il était contemporain de Tibérius Gracchus. (tt, 67 ; Vllt, 5, u° 8.) Antipater, de Sidou, poële et philosophe stnicien, maître de Catou d’Utique ; il avait composé un livre Sur les devoirs. (Vtt, 52.)

Autistheue, auteur d’un livre Sur les pyramides d’Ègypte ; époque ignorée. (XXXVI, 17.)

Autistins Labéou, auteur de nombreux ouvrages, suivaut Aulu-Gelle, XI lt, to. Ou cite de lui des Commeutaires sur le droit pontifical (Festus), un livre Sur les disciplines étrusques (Fulgeuce, De prisco sermone, u° 4). Ce fut un jurisconsulte célèbre. tl se fit remarquer dans te séuat par sa liberté il combattre les avis de l’empereur Augusto. (x, 17.)

Autoine (Marc-), triumvir, avait composé un livre, ou il faisait l’apologie de son goûtpour le viu. (XtV, 28, u° 7.) Antonius Castor. Pliue dit avoir visité son jardiu, et avoir profité de ses connaissances botaniques ; mais quel est cet Autouius Castor ? tl y eut un persouuage de ce uom qui était de Rhodes, dit aussi par quelques-nus Galate, parce qu’it vécut dans la Galatie. Il avait écrit sur Babylone, sur le Nil, sur l’ignorante de la chronologie, sur ceux qui avaient en l’empire de la mer, et d’autres ouvrages. Le roi Déjotsre en avait fait son geudre ; mais ce prince leñt mettreà mort avec sa femme. Ce fail, rapporté par Strabou, empéche que cet Autouius Castor ne soit le vieillard dout le jardiu botanique fut visité par Pliue. L’auteur de l’iudex des écrivais, dans l’édition de Lemaire, conjecture que l’Autonius Castor de Pline était le fils de celui que Déjotare lil mettre lt mort, et que c’est la lui qu’apparlieut le suruom de Philoromœns, attribué il l’autre paråuidas. (XX, 66,89, 98 ; XXIII, 83 ;XXV, 5 ; XXVI, ss.)

Autouins Musa, archiatre de l’empereur Auguste. Deux fois il guérit ce prince d’atTections graves ; el c’est pour la première cure que les Romains lili élevèrent par souscripliou une statue auprès de celled’Esculape, Suétoue, Vie d’Anguste, 59. tl ya sous son uom un livre intitulé De herba belonica, qui n’est pas de fut. (XXV, 38 ; XXIX, 5, 39 ; XXX, 39.)

Apelle, de Cos, nu des plus célèbres pelutres de l’antiquité, avait écrlt sur la peinture. Contemporain d’Alexandre, qui ne voulut être peint que par lui. (Vlf, 38 ; xxxv, ss, n° 17, n° lc.)

Apelle, de Tnasos, médecin, cité par Galien, De antãd., If, 8, et De medlc. sec. gen., V, 14. (XXVlll, 30 ; XXXll, te.)

Aptcíuà Cœlius, gastronome célèbre du temps de Tibère, s’empoisonna parce qu’it ne lui restait plus de sa fortune que dix millions de sesterces. On a sous son nom un livre intitulé De re cullnaria, de l’art de la cuisine. (Vlil, 77, n° 5 ; IX, 30 ;X, 68 ;XIX, lil, n° 2.) Apion, natif d’Oasis, ville d’Égypte, surnommé Plistontcus, lt cause des nombreux triomphes qu’it avait remportés ; gramulairieu. Tibère rappelait la Cymbaledu monde, comme ou te voit dans ta préface du Pliue. Apiou avatt écrit un tivrc contre tea Juifs (nous avons la réfutation qu’eu fit Josephe), une Histoire d’Égypte en cinq livres, un tivre Sur le luxe d’Apleiua, Athén., Vtt, p. 294 ; un tivre Sur tes médicaments métalliques, un livre Sur ta lugue romaine, Atbéu., XV, p. 680 ; un livre Sur les pyramides. (XXX, 6, 30 ; XXXt, 18 ; XJLXJI, 9 ;XXXV, 36, n° 26 ; xxxvt, tv ; xxxvtt, 19.)

Apottodore, d’Arlemite en Mésopotamie :Histoire des Parthes, Strabou passim ; Traité des ttes et des villes, Tzetzes, chiliad. 8, hist. 100 ; Catalogue des vaisseaux, Athéu., lll, p. 82 ; Histoire du Pont, Scholiasle d’Apollouius, lt, v. 159.

Apottodore de Citium, médecin. Il est probable qu’il y a ici une confusion de noms, tresfacile, du reste, à commettre, et qu’it faut lire Apottouius. Apollonius de Citium est, eu effet, un médeciu discipte de Zopyrc, lequel Zopyrc pratiquait la chirurgie à Alexaudrie : il avait beaucoup écrit ; il ne uous reste de lui qu’un Commentairesur le traité Des articulations d’Hippocratc. (XX, 13, 34 ; XX.lt, 8, 15, 29 ;XXlV, 102 ; XXVltt, 2.)

Apottodore, grammairien célèbre, ll qui les amphictyons accordèrent des honneurs publics. (Vlf, 37.) Apottodore, de Lcmnos, a écrit sur l’agriculture ; cilé par Varrou, l, t :

Apottodore, auteur d’un livre Sur les animaux venimaux, cité, outre Pline, parAthéuée, XV, p. 681 ; A-Zlien, Hist. animal., VIII, 7, el le Scholiasle de Nicandrve, ln Theriac., p. 33 et 39. (Xt, 30.)

Apottodore, auteur d’un livre Sur les odeurs, citédans l’iudex du livre XLL, et par Athéuée, XV, p. 675, nous le titre : Des parfums et des couronnes. (XXt, 69.) Apollodore, de Tareute, auteur d’un livre où il prescrivait au roi Ptolémée les vius doulce prince devait user. Ou ne sait si cet Apottodore et les deux précédents sont des personnages différents. (XlV, 9 ; XX, 13.) Apollonides, époque incertaine, auteur d’un périple de l’l-Iurope, cité par le Scholiasle d’Apollonius, lV, v. 983, et par Strabou, ll, p. 309. (VII, 2, n° 8.) Apottouins Mys, c’esl-à-dire le rat, médecin appartenait à la secte hérophilieuue, auteur d’un livre intitulé Des médicaments qu’on se procure facilement, Ilcpl ulmpítrrtov çapμáwv. Plusieurs des auteurs qui ont écrit ill l’histoire de la médeciue regardent Apoltouius My : comme le même qu’Apollonius (ou Apollodore) de Citiutn. (xxxvtt, xt.)

Apollonius, de Pergame, mis an rang des écrivains sur l’agriculture par varron et Solumelle, 1, l. Apottouins, de Pitaue. On ne sait si c’est le même que l’Apollouius dout le Scholiasle d’Apollonius, I, V. 430, cite les Mémoires. (XXtX, 38.)

Apollophane, médeciu d’Anlioclnls le Grand. (XXtt, 29.) Aquila, Julius, auteur d’un traité Sur ta discipline étrusque. (Xl, Index.)

Aralus, de Soles en Cilicie, suivant la plupart ; de Tarte, suivant d’autres ; né vers l’an 284 avant Jésus-Christ ; auteur d’un poëme astronomique intitulé Les phénoméues ; ce livre est venu jusqu’à nous. Il avait composé plusieurs autres ouvrages qui ont péri. Arcbélaüs, roi de la Cappadoce, auteur «Pnn livre Sur les pierres, que Plutarque a cité De flumin., p. t 153. (XVIII, I ; XXXVll, tl, 25.)

Arcbélaüs. Il y a un Arcllélaüs d’Égyple, auteur d’épigrammes au roi Ptolémée sur la nature merveilteusedea ani› maux, d’après Antigone de Caryste, Hlstor. mirab., p.13. Le Schol. de Nicandre, ln Tller. p. 88, cite, de son côté, un Archélaüsauteur d’un livre intitulé Desanimaux qui sont de deux natures, ’Ev raï ; Aupuím ; mais ce livre appartientå Archélaüs de la Chersonuese, qu’Athénéc, IX, p. 409, citctv