Page:Pline l'ancien - Histoire naturelle, Littré, T1 - 1848.djvu/111

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XIII, p. 577, cite un Eulnaque de Naples auteur d’une Histoire d’Annibal.

Ituphonlus, d’AIbenes ; mts par Varrou et Columelte, I, I, parmi les écrivains sur Pagricalture. (XIV, 24.) Bnphranins, médecin. Altlútlle, XI, p. 465, cite les Mé» nlclresdïšnphranlus.

I-Jupbranor, statuaire et paintre excellent ; écrivit sur la symétrie et les couleurs. (XXXIV, 19 ; XXXV› 40, a° t.) Buriptde, cétèbrepoête tragique d’Atheues, coatarnporain de Socrate et d’Ar-istepllane ; il est compté parmi ceux qui avaient écrit sur la crue du Nil par le Schol. spell, IV, v. ses. (XXXVII, ll.)

Évagon ou Evagoras, de ’I’hasos| compté par Varron et Oelumelle plrrrnl les ócrlvalns sur l’agriculture. Evaalbe, dellilet, d’apresDiogèue Laerte, laflal., p. 7 ; poète Iléroique, ’Athénée, VII, p. 296 ; écrivain grec non méprisable, Pline (vm, 34, ll’ 2), auteur de llytniques, Scllol. Apull., I, v. 1065.

lïvenor, médecin, auteur d’an ouvrage Burlea traitements, dont te cinquième livre estelle par Gœlhs Alretiauus, Citron., III, 6. (XX, 73, n° I ; XXI, IO5.) Evtlémère, de llessine en Sicile, vécut du temps de Ptolémée fils de Lagos ; Il avait été Ir-adult en lallu par Iànnius, Cicéron, deNnt. deor., I, p. 49 ; Itesl cite aussi par Cotumelle IX, 2. Il avait écrit pour prouver que les dieux du polythéisme étaient des hommes dtviniséå. Il avall écrit aussi sur les pyramides. (XXXVI, 17)

Explorateurs de Néron, Iswploratores Neronls ; tirent, par ordre de ce prince, un voyage de découvertes en Éthiopie. (VI, 85, n°6.)

F.

Fabianus Paplrius, très-versé dans la connaissance dela nature, dit Pllne (XXXVI, 24) ; émlaent par ses mœurs, par sa science, et, ce qui vient après, aussi par son éloquence, dil Séaeque, cpist. 40. Il lloriasail sous le règne de Tibère. Sénèque, epist. 100, le compare avec Clceron, Asiuius Potliou et Tite-l.lve. Ouvrages : Des animaux ; Des causes naturelles. (ll, Ire ; ll, IOB ; lx, s, a° s ; xll, 9 ; xv, 1 ; XVIII, ss, 6° lt ; xxlll, so ; xxym, la ; xxxvl, 24, n° 20.)

Fabius Dossenus. Voy. Dossenns.

Fabius Pictor (Quinlus) le plus ancien des historiens romains, dit Tlte-Live, I, p. 16 ; pril pour modèle de son histoire Dtoctes de Péparethe, dil Plutarque, ln Rom., p. 19 ; écrivit en grec, dit Denys d’IIalicaruasse, I. p. 5 ; vécut da temps de la guerre d’Aunibal, Tlle-Llve, XXII, p. 210 ; parent du Fabius tllaxlmus qui arrête Anuibal, Plutarque, ln Fab., p. lat. Ouvrages : Histoire romaine ; Des clloses naturelles, Nonnius, XLL, 3, v. Plcumuus ; Du droilpontitioat, Ilacrobe, Saturn., III, 2. (VIII, 34, n"3 ; X, 34 ;XIV, lt ; XXIX, 39.)

Fabius Vestatis ; cité dans l’Index du llvre IX. (VII, 60, u’ :)

Fabricius Tnscus ; cité dans PIndex du livre III. Favouius. Mauvaise leçon de quelques éditions, au lleu de Fabianus, nommé plus llaul.

Fenestetta Lucius, historien et poète ; mourut la dernière année du règne de Tlbère. Nous savons par Nonnlus, cap. I, qlfll avait composé desAnnaIes. (VIII, 7, n° 2, 74, n° I ; IX, 30, 59 ; XV, I ;XXlI], 6, 52 ; XXXXV, 46, n° 3.) Fetialis. Voy. Annlus Felialis.

Flgulus. Voy. Nigidius Figulus.

Fîrmus, auteur d’un traité d’horticulture, Pline, ludex XIX.

Flavins Atltus. Voy. Allius Flavius.

Flavins Ouetus, lila de l’aIIrauclll Aunius et secretalre rlktpplus Cœcns. Il rendit publics les jours fastes, allu que le peuple sul quand tl était permis d’lnlenfer une action jükiairc. Il [nl édite curute t’an 305 de Rome. G.

Galba Servius. Hardoutn pease qu’il s’agil du Galba doat Cicéron, Deorat., I, p. 275, vante l’éloquence. Autre est Gatba Sulpicius, dont il est fait mention par Pline, XXXIII ; celui-la était frère de l’elnpereur.

Gallus. Voy. Sulpiclus Gallus. Gelllanus, historien ; du reste, inconnu ; cité III, 17. Gellius (Cneius), contemporain de Varron, auteur d’An : nales citées par Auto-Gette, XIII, 22, et PGI’ Macrube, SaIurn. I,16. (vl|, :›7, n°’2,4, cet 1.). Gerluanicus, lits adoplil de D’empereur Tibère, .elemd’un poëme sur ua cheval d’Auguste. (VIII, 64, n° 3.) Gtaucias, médecinernpirique, appartenant au troisième siècle avant Pere chrétienne. Ouvrages : Des remèdes simples ; Explication, suivant l’ordre alphabétique, des mots obscurs des livres hippocratiques, Erotien, p. 16, éd. Franz. (xx, os ; xx|, loa ; xxu,47 ; xxlv, s1.) Glaucon, que Pline (XXII, 22) dit avoir employé comme Nicandre le bupleuron, plante vantee par Hippocrale, est sans doutete même que le médecin du consul Pause. Pansa, blessé il la bataille de Modène, ne tarde pas a succomber, et son médecin fut soupçonné de I°avoir empoisonné. Voy. Brut., Eplsl. ad Glccr., 6 ; la le médecin eatnornaléGIaucon ; mais dansåuétoue, Octau., ll, ilesl nommé Glycou. (XXII, 35.) Graccllauus. Voy. Junius Glaccllauus.

Gracilts. Voy. Turranills Gracilis.

Graacinus. Voy. Julius Grœciuus.

Granius, compté parmi les médecins par Fabricius, Bibt. gr., parce que, d’après Pline, il regardait un calcul extrait de la vessie par l’instrument tranchant, cl attacllé au pubis, comme plus propre à soulager les douleurs de cet organe qll’lln calcul sorti spontanément. Ce passage, sans autre désignation particulière, ne suffit pa ! pour qu’on melle ce Granius au nombre des médecins. (XXVIII, 9.) H.

Ilannon, navigateur carlbaglnots, auteur d’un Per-iple de l’AIrlque, Athéuée, III, p. 83, qui fut traduit eu grec, et dont nous possédons un fragment. (ll, 67 ; V, l, n°7 ; VI, 36, n° 4.)

Ilarpale, célèbre malbématlclan, qui corrigea l’octaótéride de Ctúzlstrate. Il fut à son tour corrigé par Melon, qui ù foclaétéride substitua la période de dix-neuf ans. Il est lait mention d’Harpale dans Geuscriu, cap. 12, et dans Festua Avieaua, adaratl Phmt., lol. 65 b. Ilécatée. Il y a deux Hecatée l l’un de Milet, qui vlvait. vers l’an 550 avant l’ere chrétienne ; l’autre d’Abdere, qui accompagne Alexandre to Grand dans son ex.perIilioa. 11écalée de Iitel avait composé une descripttea de ta terre, Festus Avienus, Dncrtpt. orœ morts., v. 42, et un outrage historique cité par Enaèbe, Prœpar. X, p. 466 ; Hóltalålt d’Abdere, unllvre sur tes hyperboréens, cité par Éliens Htsl. an. XI, I, et par Schol. Apotl., Il, v. 677. Gomme ce que Pline áte d’llécatée est relatif aux nations du Nord, Il est vraisemblable que l’Heeatée dont llparle est celuidlbdèrs. (IV, 27, n° 4 ; VI, 20, n° 3.)

Hégesias, de hlaronee en Thraca. Varron.eI Octumelte, I, 1,10 placent parmlles écrlvatna sur Vagricutture. Vitru ve, VIII, 4, dilqu’tl avattexposé avec beaucoup n’exaelitude, et un soin lnllnt, les propriétés. des lieux. et les vertus des eaux. (VII, 57, n° 16.)

Hégesideme, de Cylbnos, ettépar Sotin, cap. 12. (IX, B n° 6. Iléllodzrre Athènes, VI, p.229eIIX, p. 406, donnequet ques extraits d’un ouvrage d’Héticdore, Athénien, tePérlógèle, intitulé De l’acropole dúttbùnss, ouvrage qui était en qulnœ livres. Iëlarpocration en fait aussi mention au mot llporrólata, p. 255. Qtobéa, såfîfis 242, p. 792, Gite un livre rrtiéllodore Sur les spectacles d’lulis.