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Page:Pline le Jeune Lettres I Panckoucke 1826.djvu/5

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Nous donnons ici, comme dans le Juvénal, l’indication abrégée des changemens importans que M. le professeur Jules Pierrot a faits à la traduction de De Sacy. Le lecteur pourra s’assurer ainsi que près d’une moitié de la traduction a été refaite, et que des pages entières ont été traduites de nouveau.

Liv. I. p. 3. C. Pline à son eher Scpticius… quelque soin… aux dates… les corrections que je désire d’autant plus… p. 5. j’ai essayée. seulement de la tournure… perdu le charme. veulent-ils nous flatter… nous rendent nos études… p. 7. Que devient Côme… et votre sommeil même. p. 9, rendez. vous justice. quelle douce abondance. avantages. j’éprouve. qu’on pourrait appeler. p. 11. Il n’avait pas tort. une opinion… pour me dire. p. 13. Regulus garde le silence. p. 15. le sujet de sa mission… qui lui ressemblait si peu-je ne veux point vous tromper… c’est à moi de suivre ses avis. et il m’avoue… Satrius, avait-il dit. je me pique en effet. lorsqu’on le choisit. meilleur. celle où vous. Sensiblement. p. 17. je voulais nuire. ne craint pas d’avouer… Modestus l’avait écrite. plus encore. grave, prudent, instruit… ou pour agir. p. 19. ni épieu, ni dard. Savez-vous que… qu’il approuvera toujours. p. 21. car pourquoi… je les attends… et à vos morilles. au moment même… et je n’ai plus à craindre. n’attendez rien. je veux vous prier… quelques remarques générales. je voudrais aujourd’hui… de garder l’ouvrage. revue attentive. à force de revoir. Toutefois, je vous l’avoue. ne m’expose-t-il point. ne sont pas trop. p. 25. et l’on expose moins. ma munificence… toute la beauté. c’était comme une occasion. tandis que la nature enchaîne. l’amour raisonné… non par un brusque caprice. On n’a pas besoin. et lorsqu’il s’agit… mais faut-il. p. 27. à plus forte raison… fallait-il… quand il était nécessaire de. d’inspirer a tous… au petit nombre. qu’il y a plus de grandeur. ils attaquent. p. 29. de le dire… non en public. briguer par cette publication… mendier par vanité. p. 31. mais quand on vient… dans la retraite. où mes momens. devant moi… si ce n’est moi-même. qu’elle est honorable. mes vrais cabinets. songez au mot. p. 33. je pourrais vous en citer. j’étais admis chez lui… n’était pas nécessaire. qu’à un artiste… posséder la sagesse. discussions… qui entraîne les plus rebelles. p. 35. sa vie entière… et la fortune. et encore combien est-il rare. p. 37. c’est pourquoi… perfectionnera à son école. je serai content. p. 39. dont on ne peut accuser. lorsqu’une maladie. qui est pour les sages. il nous l’a dit. quand ses souffrances. p. 41. j’allai le voir… mais tout son corps. tout le monde en sortait. s’en délivre. Il venait de répondre. p. 43. Je sais. de ne plus veiller… ni dans le monde. se présente… si grande douleur. L’année… si le lecteur. p. 45. qu’il en était autrement… entendit. qu’il a perdu un jour. il n’y a peut-être pas. quelque ouvrage… non pas donné… qu’on en demande le prix. p. 47. Combien ses éloges. celui de choisir. ne serait-ce pas facile… pour cette alliance. et qui me respecte… autrefois à vos leçons. la force de préférer… que de l’ambition. Vous connaissez les mœurs… comme un modèle. p. 49. exercé avec honneur. son teint est animé. presque la dignité. Ces avantages… une récompense que… mon amitié s’est plu. p. 51. à merveille vraiment ! vous avez agi cruellement. p. 53. il s’est emparé de moi. dans ses improvisations. Que de grâce… c’est la manière de Catulle. p. 55. que ces lettres soient de… le talent de les écrire. nous serons dégoûter… de la fidélité et de l’honneur. Capiton s’est fait. p. 57. on admire avec. j’ajoute qu’il est… dans ses excellents vers. Silanus a reçu… a consacré la sienne. les citoyens les plus puissans. p. 59. cause qui fit d’abord.