De la vraie Religion, II, 137, 186 ; III, 601-602.
De la nature du Bien, II, 139.
De la Trinité, II, 175, 427-432, 434, 452, 618 ; III, 48-49, 305, 310, 334, 349, 513-514, 572, 607-608.
Il est indispensable, pour bien comprendre S. Augustin, de connaître la langue et la doctrine de Plotin, II, 548 (note 1), 590-592.
αὐτοζῶον (autozôon), l’Animal même, II, 554 III, 404.
AVICÉBRON, nom corrompu d’Ibn-Gébirol.
AVOIR, une des catégories d’Aristote, III, 101-193, 233.
BACCHUS (Miroir de), II, 289.
Bacchus, chef des Titans, (P), II, 594-597.
BACH, II, 506-597.
BARTHÉLEMY SAINT-HILAIRE, I, 113, 344, 397, 404, 421, 490, 491 ; II, 507, 551, 556, 566 ; III, 569, 581, 582, 583, 588, 599, 602, 604, 606. Voy. Aristote.
BARTHIUS, I, 419.
BASILE, Βασιλεύς (Basileus), traduction de Malchus, nom phénicien de Porphyre, (P), I, 17, 18.
1. BASILE (saint). Rapprochements, I, liii, lv ; III, 474, 572.
Extraits de S. Basile traduits par M. Eug. Lévêque :
Homélie sur l’Esprit saint, III, 638 ;
Traité de l’esprit saint, (extrait) III, 644 ;
Lettre sur la Vie monastique, (extrait) III, 651 ;
Hexaméron (extraits) : 1° De la Beauté de la Lumière, III, 654 ; 2° Pourquoi les objets vus de loin paraissent-ils plus petits ? III, 655-656.
BEAU. La beauté consiste dans la forme ou l’idée, I, 101-102 ; III, 133.
La beauté physique est la forme que le corps reçoit de l’âme par la raison séminale, I, 101-103, 108 ; III, 109-111, 133. La beauté morale est la forme que l’âme reçoit de l’Intelligence par la science et la vertu, I, 104-108, 110-112 ; III, 111. La beauté intellectuelle est la forme que l’Intelligence reçoit du Bien par les idées ou formes intelligibles dont elle est le lieu, I, 113 ; III, 122-124, 126. — Le principe de toute beauté est le Bien absolu quI, ayant donné la forme à l’Intelligence et n’ayant pas de forme lui-même, est la Beauté transcendante, τὸ ὑπέρϰαλον, III, 452-454, 471-472.
L’âme connaît le beau par une faculté spéciale. Elle compare les objets à l’idée du Beau qu’elle a en elle-même, I, 102 ; III, 110-111. — Voy. Arts.
BERGER, cité I, 484 ; II, 543.
BIAS, (P), I, 615.
1. BIEN. Le bien d’un être est dans la forme qu’il reçoit du principe immédiatement supérieur : le bien de la matière est l’ordre et la beauté que lui donne la forme ; le bien du corps est la vie que lui donne l’âme ; le bien de l’âme est la vertu que lui donne l’intelligence ; le bien de l’intelligence est la sagesse et le bonheur que lui donne le Bien absolu, III, 458-461. Quand l’être est sensible, il jouit de la présence du bien, III, 459-460.