I. Noblesse d’Alcibiade ; sa beauté. — II. Son caractère et ses mœurs. — III. Son motif pour refuser d’apprendre à jouer de la flûte. — IV. Reproches faits à sa jeunesse. Amitié de Socrate pour lui. — V. Son attachement pour ce philosophe. — VI. Sa conduite envers un étranger dont il était aimé. — VII. Difficulté que Socrate éprouve à le fixer. — VIII. Socrate lui sauve la vie, et lui doit la sienne dans une autre occasion. — IX. Il donne un soufflet à Hipponicus, dont il épouse ensuite la fille. — X. Il entre dans l’administration des affaires. — XI. Son éloquence. — XII. Sa dépense pour les chevaux et pour les courses. — XIII. Sa rivalité avec Nicias et Phéax. — XIV. Il fait bannir Hyperbolus. — XV. Il rend Nicias suspect. — XVI. Il trompe les Lacédémoniens. — XVII. Il forme une ligue contre eux. Bataille de Mantinée. — XVIII. Sa vie voluptueuse. — XIX. Indulgence du peuple à son égard. — XX. Expédition de Sicile. — XXI. Alcibiade est nommé général avec Nicias. — XXII. Présages sinistres qui précèdent cette expédition. — XXIII. Alcibiade est accusé d’avoir mutilé les statues des dieux. — XXIV. On le force de partir avant d’être jugé sur cette accusation. — XXV. Andocidès évite la condamnation en dénonçant des innocents. — XXVI. Alcibiade est révoqué et condamné. — XXVII. Il se retire à Argos et ensuite à Sparte. — XXVIII. Sa souplesse à prendre les mœurs les plus opposées. — XXIX. Il suscite des ennemis aux Athéniens. — XXX. Il se retire auprès de Tisapherne, satrape du roi de Perse. — XXXI. Troubles dans Athènes. — XXXII.