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Page:Poésies de Madame Deshoulières 1824.djvu/139

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DIVERSES

Mais, Goutte, s’il est vrai, ce qu’on nous dit sans cesse,
Que jusqu’à l’extrême vieillesse
Vous conduisez les jours lorsque vous ne venez
Qu’après qu’on a passé huit lustres ;
Pour des jours précieux et toujours fortunés,
Jours qui sont tous marqués par quelques faits illustres,
Quelle espérance vous donnez !