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Seule, la poésie incarnée en Hugo
Ne nous a pas déçus, et de palmes divines,
Vers l’avenir tournée, ombrage nos ruines.


Sonnet bousingot, extrait d’Albertus, p. 259, cité par M. Charles Asselineau dans sa Bibliographie romantique ; Paris, Rouquette, 1872, in-8o. Le Gérard qui a fourni la première épigraphe n’est autre que Gérard Labrunie, dit de Nerval.

La préface de Mademoiselle de Maupin, 1836, où dès la première phrase le maréchal Bugeaud est rapproché de Deutz, paraît avoir été la dernière manitestation politico-romantique de Gautier. En 1838, rallié au roi qu’il avait qualifié de « pyriforme », il lui adressait une ode sur la naissance du comte de Paris, laquelle ne fut pas imprimée. On avait alors la pudeur de ne pas faire paraître ces choses-là au Journal officiel.