Page:Poésies et lettres facétieuses de Joseph Vadé, 1879.djvu/111

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Qui la confond,
Je lui réponds ;

Une fille, etc.

Je ris des attraits
De cette coquette
Dont les traits
Naissent de sa toilette.
En vain l’art
Lui prête un rempart ;
Deux fois vingt ans
Ont filé son tems.
L’or, le fracas,
Les faux appas
Ne valent pas

Une fille, etc.

Pourquoi vante-t-on
Les airs de noblesse
Et le ton
D’une petite maîtresse,
D’une Iris
Insensible aux ris
Qui minaudant,
Vous trouve excédent,
Cligne les yeux
Et fait des nœuds ?
J’aime bien mieux

Une fille, etc.