ture, et le nœud coulant des brides du chapeau, désignent un homme de mer. Sa camaraderie avec la défunte, jeune fille un peu légère, il est vrai, mais non pas abjecte, le dénonce comme un homme supérieur par le grade à un simple matelot. Or, les communications urgentes, fort bien écrites, envoyées aux journaux, servent à fortifier grandement notre hypothèse. Le fait d’une escapade antérieure, révélé par le Mercure, nous pousse à fondre en un même individu ce marin et cet officier de l’armée de mer, déjà connu pour avoir induit en faute la malheureuse.
« Et ici, très-opportunément, se présente une autre considération, celle relative à l’absence prolongée de cet individu au teint sombre. Insistons sur ce teint d’homme, sombre et basané ; ce n’est pas un teint légèrement basané que celui qui a pu constituer le seul point de souvenir commun à Valence et à madame Deluc. Mais pourquoi cet homme est-il absent ? A-t-il été assassiné par la bande ? S’il en est ainsi, pourquoi ne trouve-t-on que les traces de la jeune fille ? Le théâtre des deux assassinats doit être supposé identique. Et lui, où est son ca-