Page:Poe - Les Poèmes d’Edgar Poe, trad. Mallarmé, 1888.djvu/85

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Mais, pour notre amour, il était plus fort de tout un monde que l’amour de ceux plus âgés que nous ; — de plusieurs de tout un monde plus sages que nous, — et ni les anges là-haut dans les cieux, — ni les démons sous la mer ne peuvent jamais disjoindre mon âme de l’âme de la très-belle ANNABEL LEE.