Page:Poisson - Heures perdues, 1895.djvu/4

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ADOLPHE POISSON
HEURES
PERDUES
POÉSIES

Quand je vous livre mon poème,
Mon cœur ne le reconnaît plus ;
Le meilleur demeure en moi-même,
Mes vrais vers ne seront pas lus.
SULLY PRUDHOMME.

Séparateur
deuxième édition
Séparateur
QUÉBEC
Imprimerie générale A. COTÉ et Cie

1895
A5