en faisant, pour abréger
![{\displaystyle {\begin{aligned}\mathrm {P} &=p^{m}+{\tfrac {m\,{.}\,m-1}{1\,{.}\,2}}p^{m-2}\alpha ^{2}+{\tfrac {m\,{.}\,m-1\,{.}\,m-2\,{.}\,m-3}{1\,{.}\,2\,{.}\,3\,{.}\,4}}p^{m-4}\alpha ^{4}+{\text{etc.,}}\\\mathrm {Q} &=q^{m}+{\tfrac {m\,{.}\,m-1}{1\,{.}\,2}}q^{m-2}\alpha ^{2}+{\tfrac {m\,{.}\,m-1\,{.}\,m-2\,{.}\,m-3}{1\,{.}\,2\,{.}\,3\,{.}\,4}}q^{m-4}\alpha ^{4}+{\text{etc.}}\end{aligned}}}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/d48324e0370a49e3035f6e026002b8c0e56c85f6)
Si la chance ambiguë n’existait pas, c’est-à-dire, si l’on avait
, la probabilité de la similitude serait simplement
; toute cause qui accroît la chance de l’un des deux événements contraires E et F, sans qu’on sache lequel, augmente donc aussi la probabilité de la similitude des événements dans une série d’épreuves, puisqu’elle rend la valeur de
évidemment plus grande que
.