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C’est l’amour qui t’a façonnée !
Ne reste pas sourde à sa loi ;
Près d’un trône tu n’es pas née,
Mais, si j’étais seigneur, ou roi
Je t’aurais bientôt couronnée !
Respire un peu de liberté,
Oui, montre-nous ton frais visage !
Ignores-tu donc ta beauté,
Ô chaste fleur de mon village !
Octobre, 1891