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Page:Poitras - Refrains de jeunesse, 1894.djvu/29

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« RENDS-MOI CRUELLE CET AVEU » !




Jeune fille, dans tes regards,
Que s’est-il donc passé d’étrange ?
Ils n’ont plus ces doux rayons d’ange,
Ils ne me lancent plus leurs dards.

Naguère, je voyais ton âme
Voltiger dans ton bel œil noir,
Elle s’en faisait un miroir
Qu’elle illuminait de sa flamme ;