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Polichinelle

frappe de nouveau.) Voilà ! voilà I voilà !(£"//e tombe la tête la première sur la baluslradedu théâtre,et comme il continue de la battre, elle tâche de se garantir avec la main.) En voulez-vous encore ? dites ? M’"^ POLICHINELLE Non, non assez. Elle /ère la tête de dessus la balustrade. Il la lui rabat d’un coup de bâton. POLICHINELLE Je savais bien que je vous ferais tenir tranquille. ]^me POLICHINELLE Elle relève encore la tête. Grâce ! Grâce ! Il la lui rabat de nouveau et la frappe jusqu’à ce qu’elle tombe morte. POLICHINELLE Eh bien êtes-vous contente maintenant ?

sur mon honneur, je le 

suis, moi. (Il s’aperçoit qu’elle est sans mouvement.) Voyons, levez-vous, ma chère ; pour rien au monde, je ne voudrais vous frapper davantage ; j’en serais désolé, ma parole !