Page:Pompery - Quelennou var labour pe gonnidegues an douar, 1851.djvu/105

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on méme‘ trois autres lavages, si l‘on vent obtenir une féciile trés~hlanche. On la place ensuite sur des planches ou dans quelque ‘vase, et’ on la fail: sécher au four, aprés qu'on en a retiré l'e pain, quand il

_n"y régné p'l_us qu’une températurg modérée.

Dansies féculeriés industrielles , on a des procédés plus parfailfs et plus éxpéditifs. I! y a plusieurs fécu- feries an’ Ponl-Labbé, qui otfrentiun’ grand débouché aux cultivateurs de"c’ette localité ; aussi continuent- ils é cultiver la pomme de terre sur une grande échellie. malgré le d_éficil: qu’ils éprouvent dans le rendenienlt, depuis Ia maladie.

La pomme de tef‍le d‘oi_1:‘ étre disposée en lignes , Mode afin de pouvoir la biner etla butter facilement. L’en- We-"Se"-="~ sétnentiement s’opé1‘e de la" ma_niére‘ suivante: on “menu

‘divise la piéce eti frois parties a-pen-pres égales; on

ouvre d‘etjx raies , au centre de chaque division, c’est-a-dire qu€l’o'n forme tlrois enrayures dang la« piéce , (re sorte que les sémeurs et la charrue font- tionneht sans jamaisi chbmer; car, tandis que la charrue jétté deux bandes sur chacune des deux premiéres ligrres ensemencées, les p1hnteuse_s sément dink les ‘quatre ‘autres raies ‘ouvertes el: revietm'e'nl; ensuife dans la planclie ou division qiie la charrtie v‘ient"de quitfer. Um: chart-ué et quatre‘ planteuses fbmtfionnehf ti'és'-bien de cetie maxiiére, sans qu’iI y ail; die ‘temps perdu. ‘ On’ pent aussi semer la pomme de terre en lignes ,* '§9:;§.?..?_f,l.f

8* CCHICIIL