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huttaal; on oontnarie l'a nature; mais le buttage pro- duit l’,efl ‘et (Fun binage, nettoie le sol et faciiite beau- coup l’e&t:a’ction desntubercules, il a done quetque utilité sous ce rapport. On execute le huttageassez promptementen Paisantpasser dans leslignes, édéfaut dfun bfi ttoir ; la petite charrue bretonne , munie mm second vei-soir. On plante entiers les petits tuhercules de semence, et on coupe les autres en deux ou trois morceaux, suivantleur volume; on les espace, dansles Iignes , :1-peu~prés A 30 centimetres.
On cultlve beaucoup moins la pomme de terre de-_ puis l7invasio,I_1 de la maladie, on y a meme tout-u-fait renoncé dans‘ quelques localités. Elle donne encore un_assez_b.on produit dans les terres substantielles, et n.’ép.rouve.qu’;un léger déchet dans les terres cal»
' ca.ires.de la-.cota_ .qui, par leur baute fertililié, new
tra,lisent—en-Lquelque sorte l’infl uence du mal ; mais, dausles sols légers, le rendetheut est nul, depuiscque les.-pampltes périssent avant.£l”avoir atteint leur par- faitdéveloppomenh. ‘
‘ Omasmulu expliquelv Ya‘ maIadie- et’ Nttribuer 9}
~ des caus*‘es~quIée1Iist&rien1 anférieurement, ‘par conséa
quent1'1ui"':'1Turait!nt’ fait‘ sefi tir plus t’o't leur infl uence, ‘si enes miene étéles agents-réens de l".1ltératib'n;(’:es causes‘ sent’ on SecI'e£ qui est encore &'décou'vrir ;‘il
done impossfifl w de remédier an mal; mail: on
pout, par re bun choix’ des especes et la culture, ‘en atténuer les efl ets. Méis la climature n’oyant point
Maladie den pommcs dc‘ lerrc.