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pour l’huile que l‘on extrait de sa graine. Dans notre pays , nous n’avons pas de débouchés faciles pour ce 2 produit. On ponrrait néanmoins cultiver le colza fotugni-::c. comme récolte dérobée, pour avoir, aprés les navets tle printemps, un four-rage analogue £1 celui que ceux- ci produisent. Les choux-vacbes ou cavaliers se sémenl; en pépi.- c,_ou,_ niéres , avanl; l'hiver , pour étre transplantés en '“"°.‘ °“ cavalaers. mars. Ils viennent assez bien dans toutes les terres, Mmi_. etil serait at désirer que leur ‘culture se propageét Hie"! 4""
les lerres h '
dans’les pays A selgle. Des essais ont été faits dans «isle- quelques-unes de ces localités, et ont donné de bons résultats; aussi cette culture commence-t-elle un peu
se répandre dans ces régions dépourvues de plantes fourrageres. Les choux-vacbes veulent étre fumés; A ils peuvent servir de culture sarclée et de prépara'- ° V tion pour la ré_colte qui doit suivre. Les vaches quil en sont nourries donnent un lail; abondant et de B°'"'°
nourrilurc
bonne qualité; ce végétal convient aussi beaucoup ‘_aI({f_:; :';‘u
pour Pengraissement du bétail. . Ma"-
ll y a une’ nouvelle variété de choux , récemment C,,ou'; implantée dans les Cétes-du-Nerd et dans les environs ,’ de Carhaix, qui fournit, ai. ce qu’il pat-alt, plus de °"“""°,'"'v feuillage que le choux du Léon. Cette espéce est dite choux vendéen‘, choux du Poiteu , choux branchu; les cu1tiva_teurs~feront bien d’en faire l’essai. Le pays til:-misc de Lannilis convient particuliérement aux choux; "
c’est deli: que viennent lesplants les plus estimés.