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ll vaudrait mieux leur consacrer un terrain spécial Mam-also ‘ - co lune la que d’en planter des hgnes dans les planches de ‘,;;',,I,,,. J,‘ .. . . g, 1 panals, parce qu’1ls nulsent au développement de " """ “‘"‘
Ics panais. ceux qui se trouvent dans leur voisinage. On plante
_des choux en décembre, parmi les froments , dans
les‘sols fertiles; its se développent passablcment, aprés Penlevemcnt rle la céréale ct donnent un bon produit.
Les fermiers qui adopteraient la culture des plan— Fprxxnalinn Gcs silns
tes sarclécs, sur une certaine étendue, ne pourraient ,,.,...;. ,.,,.-
servaliun
évidemment disposer .(lc' celliers, granges on maga- des m;,,cs,
sins assez vastes pour cuntenir toute leur récolte do racines. On supplée a Finsuffi sance des édifi ces par
le moyen des silos. Ces silos sc font dans le champ meme, dans les- cours de ferme, l’ai—re a. battre ou autres emplacements, ‘en observant de les placer prés d‘un fossé on d’un mur, :3 l‘abri du vent du Nord. ' Dans les pays on les hivers sont rudes , on creuse le terrain, pour établir le silo, a une profondeur d'en- viron deux décimétres, sur une largeur (l’un metre
on un peu plus. On entasse ensuite les racines , en
V diminuant graduellement de largeur ."1.me§ure que le
monceau s’éleve, de maniére a le terminer £1 peu
pres dans la forme du toit d’une maison. On creuse, ' _ _ Silas autour du snlo, de petites rlgoles un peu plus pro— rccuuvcrls . . , d'une fondes que la fossc qm sert de base aux racmes, c.,...,... at
pour éviter lepséjour de Fhnmidité et faciliter l’écou~ '°'"' lement dos eaux dc pluie. On étend une légérc cou-