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CHAPITRE VIII.


PRAIRIES ARTIFICIELLES OU TEMPORAIRES.

Venx:-tn. do’ grain ? fais des prés. Celui qui a la moilié de ses terres en prés est mu hon chllivateur; il est encore bon, s‘il en a an lieu :_le quart n‘est pas asset.

‘ J. Buuuxxr.

/

Voici la base des bons assolements, le seal -moyen de produire beaucoup de fumier el: d’avoir de bons animaux , avantages dent on ne jouit que par excep- tion, quand on est restreint 51 la seule ressource des prairies naturelles. Dans notre pays, la plante la plus généralement cuitivée, comme fourrage artif‍iciel , est le tréf‍le. On en‘ cultive deux variétés: le tréf‍le com-mun ‘et la tréf‍le incarnat’-,la premiere espéce est plus. connue et plus généralement adoptée. Le tref‍le .1.

Le tréf‍le.

erres qui

f‍icommun aime une ten-e riche on quelque peu subs-— ‘"5 °°"“"="'

nenh

tantielle 5 it ne réussit guére dans les terres A seigle , quand elles n’ont pas été préaiablement amendées par des subsl;ance's calcaires. Dans les terres com- paetes , qui durcissent et se gergent,‘ lorsqu’il sur- vient une sécheresse, les secondes coupes de tréf‍les . se développentemal et donnent-un faible produit. Ori séme ordinairement dans une céréale de prim- temps ;il faute de quinze & vingt kilogrammes de Emmm,

grainess par hectare , suivant la qualité du sol. Aprés du"','j,';},e_