—-€193 --
vivres aux betes in Pengrais et aux vaches latitieres; c’est encore la une des principales causes de la dégée
‘ nérescence et de la chetiveté de nos races.
Tous les animaux domestiques aiment Ale sol; si ;«:..,1..; an _ nous apprenions a en faire emploi dans leur alimen- '°"
tation , ‘ils seraient moins sujets aux maladies qui les aifectent; le sel serait, en outre , un auxiliaire uti'le- dans”l’engraissement du bétail. '
En hiver, les yaches donnent un lait plus abondant, Move".
_ . _ H d‘accoulu- quand ‘on leur fart borre des breuvages tiedes, dans mer-
les vaches I
lesquels on méle un peu de son ou des racinescuites. breauuiiges Les bétes qui n’y sont pas hahituées refusent quel- tiédes. quefois ces breuvages; mais elles s’y a-ccoutu ment et
les acceptent quand on les tient a l’étable, un ou
deux jours, A unrégime sec, sans les abreuver.
L’é-ge des bétes a cornes est facile a connaitre par Signes laichute des premieres Gents et l*usure des dents rempla<_:antes.pLa machoire inférieure est garniede defsffim huitdentsincisives: celles 'du milieu, que l’on nomme 3' °°"“"
' les pinces, tombent vers Page de deux ans; les deux voisines, ou premieres mitoyennes, se détachent de fleux A trois ans ; les secondes mitoyennes, qui Vien- nent ensuite ; 'de trois a quatre ans; enfin, les coins font leur chute de quatre a cinq ans. Passé cet age, c’est :‘11‘usure des dents que l’on juge si ces animaux approchent de la vieillesse. Les anneaux des cornes peuvent aussi indiquer Page, mais avec moins de certitude : on compte un an par chaque anneau 5 la pointe en indiquetrois. 9
