Aller au contenu

Page:Pompery - Quelennou var labour pe gonnidegues an douar, 1851.djvu/213

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

O

--213-

celui des autres especes domestiques. Les deux ma- Signes in- . . . . . . . diralifs. chonres sont mumes de SIX dents mcisives. A la tron- siéme année, les pinces ou dents du milieu tombent; les mitoyennes sont chassées in la quatrieme année ,

‘ les coins in la cinquiéme.

Voici les maladies les plus f‍l-équentes des chevanx: M°(‘i:<:"°s

il en est plusieurs‘ qui sont dangereuses et dont la climax-

’ terminaison peut étre funeste , quand‘on néglige de

les soigner; -ce sont: Pindigestion gazeuse, l’en- térite sur-aigué, Pentérite ohronique, la gour-me , les angines ou esquinancies et le coryia.

Le cheval s’indigere facilement: diverses causes Indigestion peuvent produire le trouble des functions digestives “°""5°' chez cet herbivore. On concoit que le cheval n’ayant pas la faculté de vomir , par suite de laAccmforma-tion- de son estomac, les troubles qu’éprouve ce viscere ne sont jamais sans gravité. Quand Pestomac, pdr une mauvaise disposition, ne peut‘ élaborerles substan-

es alimentaires , leur presence produit l’e'f‍l‘et’ de corps étrangers qui irritent Porgaue. En outre ,‘il s’y dégage continuellement des gaz qui occasionnent de violentes douleurs et sont ‘une aggravation es un danger de plus. On prévienl; ces accidents en rIaf‍ion- n‘a‘nt convenablement les chevaux, évitant de leur

‘dunner des herbageslmouiilés , et surtoutunewtrop

forte quantité de racines crues ou meme ‘euiteslen an repas: on voit souvent ties éleveurs perdreldes chevaux de prix , pour avoir imprudemment donné