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pour diminuer la violence des l‘infl amination et rpré- veni-r on épargchemeut desang interne. On essaie dc combattre les douieurs par des breuvages calmants, que l’on se procure chez tous les pharmaciens. On établitrun “révulsif sur une partie externe voisine dc Pintestin, :pour déplacer Pinfl ammation de catar- gane; enfi n, on administre fréquemment des la- vements composés comme on’ Pa indiqué plus
haut, pour rétablir la liberté du ventre. Lorsque le _
malparait céder, on continue la diete etle Arepos; la gtzérison est bientot complete. La diéte ne doitétre interrompue qu’a'vec prudence, pen 5 peu et comme essai. Si cette alimentation bien graduée n’ainéne-pas
, «de reminiscence du mal, on continue éaugmenter la
ration j-usqu'é la quantité aecoutumée. Nos cultiva- tenrse redoutent singuliérement l’empIoi de {a diéte dans les malad;ies- de leurs zmimaux, comme dens eelles qui .les atteignent eux-memes; ils sont convainl-
, cus que l’on ne peut pas plus s‘abstenir do nourriture
en état de maladie qu’en état de santé. Ce préjugé est trés-funeste : il est une des principales causes de Pin- succes de nos médecins et de nos vétérinairesdans les maladies qu’ils sont appelés’ £1 traiter echez Ies cultivateurs. La diéte, dans lesemaladies des organes digestifs surtout, est essentielle £1 observer, “at ce ales: qu’avec précaution que l’on pent s’en écarter (lens -11
‘convalescence.
L’entérite-chronique est pen dangereuse. Elle se développe lentement et l’on ne s’en apergoit ordinai-
Utililé 11;: la diele dans les
maladies.
Enlérite chronique ou de vieifl e due.